LISIEUX. (Calvados -14)

Lisieux (Calvados) est la capitale du pays d'Auge, région caractérisée par ses vallées et son bocage.

 

C’est à l’aube du XXe siècle que la France puis le monde entier découvrent la vie et le message d’une jeune Carmélite normande, Sœur Thérèse de l’enfant Jésus. La ville où elle a vécu devient l’un des hauts-lieux de la spiritualité chrétienne.


 

AVIOTH.  (Meuse 55)

 

Au nord du département de la Meuse, à proximité de la frontière belge, perdu dans un écrin de verdure, le charmant village d’Avioth attire l’attention. Impossible en effet de ne être interpellé par la majestueuse église qui s’élève au cœur de cette petite commune d’une centaine d’habitants. Imposante de l’extérieur, elle l’est tout autant de l’intérieur. Aussitôt la porte franchie, voyage dans le temps assuré. Pas de doute, le visiteur est comme transporté, conduit en plein Moyen-Age.


 

PLOUGONVEN.  (Finistère -29)

En 1554, c’est à Plougonven que s’ouvre la série des grands calvaires d’enclos finistériens : sur les deux niveaux d’un massif octogonal, l’histoire se déroule de l’Annonciation à la Résurrection, sans oublier – Trégor oblige – saint Yves entre le riche et le pauvre. Le calvaire de Plougonven souligne ainsi la fécondité du XVIe siècle trégorois. Ici, la prospérité est précoce car moins dépendante du lin (que l’on cultive mais que l’on ne transforme guère). Au cœur d’un enclos qui compte aussi un ossuaire et une chapelle dédiée au Christ, l’église Saint-Yves (1507-1523) frappe par la qualité de sa conception et de son décor gothique (clocher, chevet, porche avec chambre des archives à l’étage). 


MARVILLE.  (Meuse -55)

Marville abrita une industrie florissante du cuir et du textile, et connut une grande prospérité jusqu'à la Renaissance. Les troupes espagnoles qui occupèrent le village de 1555 à 1659, laissèrent derrière elles de grandes demeures aux façades enduites de chaux jaune. La place principale est bordée de maisons des XVIe et XVIIe siècles. Par delà les ruines d'un couvent édifié en 1629 se dresse un cimetière offrant d'impressionnantes sculptures funéraires des XVe et XVIe siècles. 


 

LES GORGES DU VERDON.  

Le Verdon prend sa source tout près du col d'Allos, dans le massif des Trois Evêchés (2819 m). Il va se jeter dans la Durance, près de Vinon-sur-Verdon après avoir parcouru près de 175 kilomètres. Son parcours le plus intéressant se trouve entre Castellane et le Pont du Galetas, sur le lac de Sainte-Croix. Ce lac était il y a quelques dizaines d’années la grande plaine des Salles-sur-Verdon, avant la mise en eaux du lac artificiel créé par l’édification du barrage de Sainte-Croix. Lors de la montée des eaux en 1973, le vieux village des Salles a été évacué (de force), détruit et noyé. Son église a été dynamitée, tout comme le village, qui est reconstruit plus haut et plus moderne, au grand dam de ses habitants. C’est maintenant un des plus jeunes villages de France.


JOSSELIN.  (Morbihan -56)

L'histoire de Josselin remonte au XIe siècle. En 1008, Guéthenoc, Vicomte de Porhoët, de Rohan et de Guéméné, décide d’édifier sur ce promontoire rocheux dominant la vallée de l’Oust une enceinte urbaine ainsi qu’un château. Son fils, Josselin, donne son nom à cette place forte ainsi qu’à la ville qui vient se développer tout autour.  Aujourd’hui, le château est toujours habité et entretenu par la famille  de Rohan.

Le château ainsi que la basilique Notre-Dame du Roncier restent les éléments forts de la notoriété de la cité.


YVOIRE.  (Haute-Savoie -74)

Maisons de pierre à balcons de bois, ruelles fleuries de glycines et de géraniums... On l’appelle « la perle du Léman. Dominant les bords du lac qui fit du village un port de pêcheurs et de bateliers, le donjon carré est l’un des vestiges du passé médiéval d’Yvoire qui a fêté, en 2006, les 700 ans de ses fortifications érigées par Amédée V le Grand, comte de Savoie.


PRADELLES.  (Haute-Loire  43)

Pradelles est un ancien bourg fortifié « Castrum », qui connu par le passé une certaine prospérité, notamment grâce à sa position sur la Voie Regordane, qui conduisait les pèlerins du Puy-en-Velay vers Saint Gilles du Gard. Cette voie permettait par ailleurs le transit de marchandises entre la « Francie occidentale » et le royaume de Provence. Ainsi pèlerins, voyageurs, marchandises, camelots et brigands se croisaient en ce lieux. Vestiges de ces temps anciens entre commerce et guerres de religions, il subsiste à ce jour plusieurs portes fortifiées, ainsi que de nombreuses constructions anciennes aux murs de pierre et arcades, dont les hautes façades se dressent face aux bourrasques cévenoles.


CARNAC.  (Morbihan -56)

Carnac, une petite ville de Bretagne dont le nom celte signifie « lieu où il y a des monticules de pierres », abrite le plus grand site mégalithique au monde .Trois mille pierres levées, constituant plusieurs ensembles, se déploient les unes derrière les autres du nord-est vers le sud-ouest. Les réalisations artistiques spectaculaires entourées de mystère ont toujours fasciné les hommes. C’est en partie ce qui explique le succès des alignements mégalithiques de Carnac.

Qui a construit ces alignements ? La légende raconte que l'évêque Cornély était en train de fuir les romains. Acculé au bord de la mer, il se retourne et change les soldats en pierre.


CANDES SAINT-MARTIN.  (Indre et Loire -37)

 

Classé parmi les plus beaux villages de France, Candes-Saint-Martin est situé en Indre et Loir, dans la région Centre. L’histoire raconte que Saint-Martin y décéda en 397, ne donnant son nom au village qu’en 1949. Ce petit bourg de 220 habitants à la spécificité d’accueillir la confluence entre la Loire et la Vienne. Candes-Saint-Martin joue le contraste avec ses toits d’ardoise et ses murs de tuffeau blanc dont sont parées les maisons et la collégiale Saint-Martin. Les hauteurs du village nous offrent un très beau panorama donnant sur les champs et le confluent.